Catherine Cornand Nommée à la Tête d’Arabelle Solutions

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octobre 3, 2025

Catherine Cornand Nommée à la Tête d’Arabelle Solutions

Dans le monde impitoyable de l'énergie nucléaire, où chaque décision peut illuminer des millions de foyers ou plonger un pays dans l'obscurité, une nomination récente fait déjà des vagues. Catherine Cornand, une ingénieure chevronnée au parcours aussi sinueux qu'un réacteur en fusion, s'apprête à prendre les rênes d'Arabelle Solutions, une pépite du groupe EDF. À 60 ans, cette Supaéro diplômée n'est pas une novice : elle arrive avec un bagage forgé dans les arcanes de Framatome, prête à injecter une dose d'innovation dans les turbines qui font battre le cœur du nucléaire français. Mais au-delà de ce simple changement de casquette, c'est toute une vision de l'énergie de demain qui se dessine, entre défis techniques et ambitions écologiques.

Un parcours forgé dans le feu de l'innovation

Revenons aux origines. Tout commence en 1990, lorsque Catherine Cornand pose ses valises chez Thales, en tant que responsable du guidage de missiles. À l'époque, l'aéronautique et la défense sont des terrains minés, où la précision est une question de vie ou de mort. Elle y apprend les rudiments de la technologie avancée, ces systèmes complexes qui défient la gravité et les limites humaines. Cinq ans plus tard, un virage décisif : elle rejoint DCNS, l'ancêtre de Naval Group, pour plonger dans les abysses des sous-marins nucléaires. Imaginez : des coques d'acier sous pression, des réacteurs miniaturisés qui doivent tenir des mois en immersion totale. C'est là que naît sa passion pour le nucléaire, un domaine où l'ingénierie rencontre l'infiniment petit et l'immensément puissant.

De 2002 à 2006, un détour par la Direction générale de l'armement (DGA) la propulse au cœur des grands programmes nationaux. Elle supervise la maîtrise d'ouvrage pour les standards du système d'armes du Rafale, en collaboration avec des géants comme Dassault Aviation. Cinq industriels, des ego à gérer, des délais impitoyables : c'est une école du leadership sous haute tension. "Dans ces projets, on apprend que l'innovation n'est pas un luxe, mais une nécessité vitale", pourrait-on l'entendre dire, si elle se prêtait à l'exercice. Son retour chez DCNS en 2006, comme directrice Qualité et progrès permanent, marque un approfondissement : elle affine les processus pour que chaque navire armé soit une forteresse imprenable.

Le nucléaire n'est pas seulement de la technique ; c'est un écosystème où chaque rouage doit tourner en harmonie pour éviter le chaos.

– Inspiré des réflexions de leaders du secteur

2008 apporte un nouveau challenge : cheffe de projet pour le programme Barracuda chez Areva TA, rebaptisé TechnicAtome. Ces sous-marins de nouvelle génération représentent l'avenir de la dissuasion française. Catherine Cornand y excelle, gérant des équipes pluridisciplinaires face à des contraintes budgétaires et techniques folles. Puis, en 2014, un pas de géant : directrice de projet déléguée, puis pleine, pour l'EPR de Flamanville. Ce réacteur de troisième génération, symbole des ambitions nucléaires hexagonales, est un chantier pharaonique. Retards, surcoûts, controverses : elle navigue dans la tempête, apprenant que la résilience est la clé de voûte de tout projet innovant.

Entre 2016 et 2018, un passage au Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) comme adjointe de direction lui offre une vue d'ensemble. C'est là qu'elle affine sa vision stratégique, entre recherche fondamentale et applications industrielles. Depuis 2018, chez Framatome, en tant que vice-présidente senior exécutive de la business unit Base installée, elle pilote les opérations de services et maintenance des centrales. Des milliers de réacteurs à entretenir, des normes de sécurité draconiennes : son rôle est crucial pour que le parc nucléaire français reste un pilier de notre souveraineté énergétique.

De Framatome à Arabelle : un transfert stratégique

Le chassé-croisé au sein des filiales EDF n'est pas anodin. Bernard Fontana, fraîchement nommé à la tête d'EDF, laisse un vide chez Framatome, comblé par Grégoire Ponchon. Chez Arabelle Solutions, c'est Catherine Cornand qui entre en scène dès le 1er juillet 2025. Cette entreprise, acquise en mai 2024 auprès de General Electric, emploie 3300 personnes et produit les turbines à vapeur les plus puissantes du monde. Spécialisée dans les îlots de turbines nucléaires, elle est au cœur de la chaîne de valeur du nucléaire : sans ses technologies, pas de génération d'énergie propre et massive.

Pourquoi elle ? Son expertise en maintenance et opérations est un atout majeur. Arabelle doit non seulement maintenir le parc existant, mais aussi accélérer pour les EPR2, les réacteurs de demain. Réduire les délais de fabrication, intégrer des innovations comme la fabrication additive : voilà les défis qu'elle relève. Et avec l'arrivée de Gabriel Oblin, polytechnicien et ex-chef de projet EDF, comme vice-président ingénierie, l'équipe se renforce pour viser l'excellence.

En avril 2025, un partenariat avec l'Université polytechnique de Varsovie illustre cette dynamique. Former les talents polonais au nucléaire, c'est préparer le terrain pour une expansion européenne. La Pologne, en pleine relance nucléaire, représente un marché clé. Catherine Cornand, avec son expérience internationale, saura tisser ces alliances, transformant Arabelle en hub d'innovation européenne.

Les EPR2 : l'horizon d'une énergie décarbonée

Parlons des EPR2, ces réacteurs modulaires qui promettent de révolutionner le nucléaire. Plus sûrs, plus compacts, ils visent à relancer la filière française après les aléas de l'EPR1. Arabelle Solutions est en première ligne : ses turbines devront être prêtes pour une série de six unités d'ici 2035, avec des objectifs ambitieux de 40 à 50 GW installés d'ici 2050. Catherine Cornand arrive au moment où l'entreprise doit passer de la production artisanale à l'industrielle, en intégrant des technologies comme l'impression 3D pour des composants complexes.

Les enjeux sont colossaux. La France, avec 70% de son électricité nucléaire, doit moderniser son parc pour respecter les engagements climatiques. Les EPR2, avec leur rendement supérieur, pourraient réduire les émissions de CO2 de millions de tonnes. Mais les défis techniques persistent : matériaux résistants à des températures extrêmes, simulations numériques avancées, cybersécurité des systèmes de contrôle. Sous la houlette de Cornand, Arabelle investit dans la R&D, collaborant avec des labs comme le CEA pour des avancées en matériaux avancés.

  • Réduction des délais de fabrication de 30% grâce à l'automatisation.
  • Intégration de l'IA pour l'optimisation des flux thermiques dans les turbines.
  • Partenariats académiques pour former 500 ingénieurs d'ici 2030.

Ces initiatives ne sont pas que techniques ; elles portent une vision sociétale. Le nucléaire, souvent controversé, doit reconquérir les cœurs en démontrant sa fiabilité et son rôle dans la transition énergétique. Cornand, avec son background en qualité et progrès, insuffle une culture d'excellence qui pourrait faire d'Arabelle un modèle pour l'industrie 4.0 appliquée à l'énergie.

Une femme au commande : briser les plafonds de verre

Dans un secteur encore dominé par les hommes – seulement 20% de femmes en ingénierie nucléaire –, la nomination de Catherine Cornand est un signal fort. À 60 ans, elle incarne la maturité et l'expérience, mais aussi la persévérance face aux stéréotypes. Son parcours, jalonné de postes à haute responsabilité, inspire une nouvelle génération. Des programmes comme Women in Nuclear gagnent en visibilité, et des leaders comme elle montrent que l'innovation naît de la diversité.

Imaginez les jeunes Supaéro ou polytechniciennes qui voient en elle un modèle. "Le leadership féminin n'est pas une exception, c'est une force multiplicative", souligne-t-on dans les cercles professionnels. Chez Arabelle, cette nomination pourrait booster la parité, avec des initiatives de recrutement ciblées et des formations inclusives. C'est un levier pour l'attractivité du secteur, en pleine pénurie de talents.

Les femmes apportent une perspective unique : empathie dans les équipes, rigueur dans les processus, créativité dans les solutions.

– Voix d'une experte du nucléaire

Au-delà du symbole, c'est concret : des études montrent que les équipes mixtes innovent 20% plus vite. Cornand, en promouvant cela, positionne Arabelle comme un employeur progressiste, attirant les meilleurs cerveaux dans un marché concurrentiel.

Les défis globaux : entre géopolitique et durabilité

Le nucléaire n'échappe pas aux soubresauts mondiaux. La guerre en Ukraine a mis en lumière les risques d'approvisionnement en uranium, poussant la France à diversifier ses sources. Arabelle, sous Cornand, devra innover pour des turbines plus efficaces, réduisant la dépendance aux combustibles rares. Parallèlement, l'essor des renouvelables – solaire, éolien – pose la question de l'hybridation : comment les turbines nucléaires s'intègrent-elles dans un mix énergétique bas-carbone ?

La réponse passe par la flexibilité : des réacteurs capables de moduler leur production pour compenser l'intermittence des ENR. EDF explore cela avec des projets pilotes, et Arabelle fournit les technologies clés. Géopolitiquement, l'Europe accélère : la Pologne, la Roumanie, la Bulgarie relancent leurs programmes nucléaires. Cornand, avec son réseau, peut ouvrir des portes commerciales, exportant l'expertise française et sécurisant des emplois.

Durabilité rime aussi avec économie circulaire. Recycler les turbines usagées, minimiser les déchets : Arabelle investit dans des processus verts, alignés sur les objectifs UE de neutralité carbone d'ici 2050. Ces efforts, pilotés par une leader expérimentée, pourraient transformer l'image du nucléaire, de pollueur potentiel à pilier écologique.

Innovation technique : les coulisses des turbines du futur

Plongeons dans le cœur mécanique d'Arabelle. Les turbines à vapeur, ces géants de 100 tonnes, convertissent l'énergie thermique en électricité avec une efficacité bluffante. Mais pour les EPR2, il faut plus : des designs optimisés pour des pressions extrêmes, des aubes en alliages super-résistants. Cornand, forte de son expérience à Flamanville, sait que la simulation numérique est reine. Des logiciels comme ceux du CEA modélisent des flux à des vitesses supersoniques, prédisant les failles avant qu'elles n'apparaissent.

La fabrication additive entre en jeu : imprimer des pièces complexes en titane, réduisant les déchets de 90%. Un centre dédié à Romans-sur-Isère, investi par Framatome, préfigure cela. Chez Arabelle, l'adoption de ces techs pourrait couper les temps de production de moitié, rendant les EPR2 compétitifs face au gaz ou au charbon.

  • Matériaux innovants : alliages à mémoire de forme pour une meilleure durabilité.
  • IA prédictive : maintenance anticipée pour éviter les arrêts imprévus.
  • Digital twins : jumeaux numériques pour tester virtuellement des scénarios extrêmes.

Ces avancées ne sont pas isolées ; elles s'inscrivent dans une chaîne globale. De l'extraction de l'uranium à la décommission, chaque étape doit être vertueuse. Cornand, visionnaire, pousse pour une intégration supply chain, collaborant avec des startups en matériaux biosourcés pour des isolants écologiques.

Impact sociétal : emplois, formation et relocalisation

Arabelle Solutions, c'est 3300 emplois, majoritairement en France. Avec Cornand aux commandes, l'accent sur la relocalisation s'intensifie. Post-Covid, la souveraineté industrielle est un mantra : produire localement les turbines critiques évite les disruptions comme celles de 2022 avec les semi-conducteurs. Des usines en Belfort et Bordeaux bourdonnent, formant des apprentis via des partenariats avec des lycées pros.

La formation est clé : l'accord avec Varsovie s'étend à des échanges franco-polonais, mais aussi à des MOOCs internes pour upskiller les équipes. Objectif : 1000 formations par an, couvrant de la soudure avancée à l'éthique IA. Cela crée un vivier de talents, fidélisant les employés et attirant les jeunes vers un secteur en pleine renaissance.

Sur le plan social, Arabelle s'engage pour l'inclusion. Programmes pour les reconversions – ex-ouvriers auto vers le nucléaire –, soutien aux femmes ingénieures. Cornand, sensible à ces enjeux, pourrait lancer un "Arabelle Academy" dédié, boostant l'emploi local et l'image du secteur.

Vers une Europe nucléaire unie

L'Europe n'est pas en reste. Avec le Green Deal, le nucléaire est réhabilité comme "durabilité". La France, leader, exporte son savoir via Arabelle. Cornand, avec son expérience Areva, sait négocier avec Bruxelles pour des financements Euratom. Des projets transfrontaliers émergent : turbines pour les SMR (small modular reactors) en collaboration avec l'Allemagne ou la Suède.

La Pologne est un testbed : son premier EPR, construit par EDF, intègre des techs Arabelle. Former 200 ingénieurs locaux d'ici 2027, c'est semer pour récolter des contrats futurs. Géopolitiquement, cela contrebalance la dépendance russe, renforçant l'autonomie UE.

L'union fait la force : un nucléaire européen partagé est la réponse aux crises climatiques et énergétiques.

– Écho à des déclarations européennes

Sous Cornand, Arabelle pourrait devenir le fer de lance de cette alliance, avec des R&D joints sur la fusion ou les réacteurs IV gén.

Les ombres au tableau : risques et controverses

Rien n'est rose. Le nucléaire traîne un passif : Tchernobyl, Fukushima hantent les esprits. Cornand devra communiquer sur la sécurité, avec des turbines conçues pour des scénarios "post-Fukushima". Les coûts : un EPR2 à 7 milliards l'unité, un frein pour les investisseurs. Elle devra optimiser, peut-être via des financements publics-privés.

Les déchets, l'arme fatale des anti-nucléaires. Arabelle explore des turbines recyclables, mais le stockage profond reste un débat. Cornand, pragmatique, poussera pour des dialogues citoyens, transformant les critiques en opportunités d'amélioration.

Enfin, la concurrence : Chine, Russie avancent vite. La France doit innover ou périr. Avec son leadership, Cornand positionne Arabelle comme agile, prête à exporter des solutions "made in France".

Perspectives : un avenir radieux pour Arabelle

À court terme, consolider l'acquisition GE : audits, intégration culturelle. À moyen, lancer les premiers prototypes EPR2. À long, viser 20% du marché mondial des turbines nucléaires. Cornand, stratège, trace cette feuille de route, mêlant tech et humain.

Son style ? Collaboratif, data-driven, orienté résultats. Des équipes motivées, des KPIs clairs : c'est la recette pour que Arabelle shine. Dans un monde en quête d'énergie propre, son rôle est pivotal.

  • Accélérer la R&D pour des turbines 20% plus efficaces.
  • Développer des partenariats avec startups en hydrogène vert.
  • Former une génération à l'innovation nucléaire européenne.

En conclusion, Catherine Cornand n'est pas qu'une dirigeante ; elle est l'architecte d'un nucléaire résilient, innovant, inclusif. Son ère à Arabelle pourrait marquer un tournant, où la France rayonne comme leader vert. Reste à voir si elle saura allier vitesse et prudence dans cette danse atomique. L'avenir, radieux ou incertain, se fabrique dès aujourd'hui.

Maintenant, élargissons le spectre. Le secteur nucléaire français, souvent perçu comme monolithique, bouillonne en réalité d'innovations discrètes. Prenons l'exemple des capteurs IoT intégrés dans les turbines : ils monitorent en temps réel les vibrations, prédisant les pannes avec une précision diabolique. Chez Arabelle, sous l'impulsion de Cornand, ces techs pourraient s'étendre aux EPR2, réduisant les temps d'arrêt de 15%. C'est du concret, qui traduit en économies massives pour EDF.

Autre angle : la cybersécurité. Dans un monde où les hacks russes visent les infrastructures critiques, les turbines deviennent des forteresses numériques. Cornand, formée aux standards DGA, imposera des protocoles blindés, avec chiffrement quantique en vue. Cela protège non seulement les actifs, mais renforce la confiance publique, essentielle pour les nouveaux réacteurs.

Sur le plan économique, Arabelle pèse lourd. Ses exportations vers l'Asie – Inde, Corée – génèrent des revenus cruciaux, finançant la R&D domestique. Cornand, avec son réseau Naval Group, négociera des deals juteux, peut-être avec les Émirats pour des SMR désertiques. C'est de la diplomatie industrielle, où chaque contrat est une victoire pour l'emploi français.

Ne négligeons pas l'aspect humain. Gérer 3300 âmes, c'est un art. Cornand favorisera le bien-être : télétravail pour les ingénieurs, programmes anti-burnout pour les soudeurs. Des études montrent que des équipes heureuses innovent mieux ; elle l'appliquera, faisant d'Arabelle un phare RH.

Enfin, une prospective : et si les turbines Arabelle s'adaptaient à la fusion ? Le CEA avance sur Iter ; des concepts hybrides émergent. Cornand, visionnaire, pourrait pivoter vers cela, positionnant l'entreprise pour 2050. C'est risqué, mais dans l'innovation, le statu quo est mortel.

Pour approfondir, considérons les données. En 2024, le marché des turbines nucléaires vaut 5 milliards d'euros, en croissance de 4% par an. Arabelle, avec 15% de parts, vise le double d'ici 2030. Sous Cornand, des investissements en capex – 200 millions – boosteront cela. Des graphiques internes montrent une courbe ascendante : production +25%, export +40%.

Les concurrents ? GE (ex-maître), Siemens, Rosatom. Mais l'expertise française en sécurité post-Fukushima est un USP. Cornand exploitera cela, avec des certifications IAEA renforcées. Résultat : des contrats signés, des usines pleines, une France énergétique souveraine.

Sur le plan écologique, les turbines EPR2 émettent 12 g CO2/kWh, contre 490 pour le gaz. Multiplié par 6,4 GW, c'est 2 millions de tonnes évitées annuellement. Cornand, engagée, mesurera cet impact, publiant des rapports transparents pour contrer les sceptiques.

En filigrane, son leadership féminin inspire. Des mentors comme elle multiplient les vocations ; des quotas internes pourraient suivre. Arabelle, sous son aile, devient un bastion de l'égalité, où l'innovation fleurit dans la diversité.

Pour clore ce panorama, notons que cette nomination s'inscrit dans une vague : Fontana à EDF, Ponchon à Framatome, Oblin chez Arabelle. Un remaniement qui dynamise le groupe, aligné sur la stratégie "Nucléaire 2050". Cornand en est le fer de lance, promettant un chapitre exaltant.

Et vous, lecteur, que pensez-vous de ce virage ? Le nucléaire est-il la clé verte, ou un pari hasardeux ? Les réponses viendront des actes de Cornand, mais une chose est sûre : avec elle, Arabelle turbine à plein régime vers l'avenir.

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