Résolutions 2025 des Leaders de l’Ecosystème Tech Canadien

Accueil - Technologies et Avenirs - Start-ups - Résolutions 2025 des Leaders de l’Ecosystème Tech Canadien
Résolutions 2025 des Leaders de lEcosystème Tech Canadien Innovationsfr
janvier 1, 2025

Résolutions 2025 des Leaders de l’Ecosystème Tech Canadien

En ce début d'année 2025, quelles sont les résolutions, les paris et les mots bannis des grands acteurs de l'écosystème technologique canadien ? En partenariat avec NorthGuide, BetaKit a interrogé des dirigeants clés sur les habitudes qu'ils affûtent, les coups qu'ils tentent et les buzzwords qu'ils enterrent pour aborder cette nouvelle année avec ambition.

Des résolutions entre réflexion et action

Pour Anthonia Ogundele d'Ethos Lab, 2025 sera placée sous le signe de la « créativité réflexive quotidienne ». Prendre chaque jour 1 heure pour « rêver, écrire et cartographier les possibilités » lui permettra de renforcer sa santé mentale, de célébrer les petites victoires et d'aborder chaque journée avec intention.

De son côté, Terry Stuart de NorthGuide compte se « déconnecter numériquement » pour travailler sur sa « connectivité créative » à travers la photographie et la musique. Son objectif ? Consacrer 2 heures par semaine à s'extraire de la jungle digitale.

Abdullah Snobar du DMZ veut quant à lui « célébrer haut et fort, et plus souvent ». Fini les victoires en sourdine, place aux succès assumés ! Cela signifie mettre en lumière chaque étape, grande ou petite, et faire du bruit autour de l'impact du Canada.

Concentrer les efforts, prendre des risques

Les bonnes résolutions passent aussi par savoir dire non. Anthonia Ogundele souhaite ainsi « moins dire oui » en 2025. Trop s'engager la distrait de ses priorités et laisse peu de place au repos et à la créativité. En posant des limites plus claires, elle pourra se consacrer à ce qui compte vraiment : les relations.

Kathryn Lockhart de Propel veut de son côté « prendre plus de risques ». Car selon elle, on n'a jamais un impact en restant dans sa zone de confort. « Passer moins de temps à réfléchir (ou trop réfléchir) et plus de temps à faire », voilà son crédo pour 2025.

« Moins, c'est plus. J'essaie de créer plus d'espace dans mon agenda pour me connecter et tirer plus de valeur des choses que je fais. Moins de choses avec plus d'impact. »

Kendra MacDonald, Canada's Ocean Supercluster

Cap sur la Lune et au-delà

Interrogés sur leurs objectifs « moonshot » pour 2025, les leaders tech visent haut et loin. Anthonia Ogundele aimerait ainsi ouvrir un autre Ethos Lab à Surrey et lancer des programmes dans d'autres villes canadiennes, avec pour mission de cultiver la confiance des jeunes dans les apprentissages STIM.

L'ambition d'Abdullah Snobar ? Faire du Canada « le meilleur endroit au monde pour créer une startup, point final ». Pour y arriver, l'écosystème doit s'attaquer aux défis des fondateurs (accès aux capitaux early-stage, acquisition de clients de renom...) mais aussi créer un environnement qui les soutient sans relâche.

« En 2025, je veux que les fondateurs des provinces atlantiques apprennent à développer leurs entreprises en étant obsédés par leurs clients. Je veux que le bootstrapping devienne une arme secrète que les fondateurs utilisent pour prospérer dans un marché difficile. »

Kathryn Lockhart, Propel

Investir dans les gagnants, propulser les histoires

En 2025, Abdullah Snobar compte bien « nourrir les gagnants ». Le Canada a parfois tendance à trop vouloir plaire à tout le monde. Pour booster les chances de succès, il faut mieux cibler les paris et doubler la mise sur les pépites. Quand l'un gagne, tous gagnent !

Michelle Sklar du VEF veut quant à elle « aider les fondateurs à préparer leurs histoires pour un public mondial d'investisseurs », dans la perspective du Web Summit qui débarque à Vancouver. Un thème clé pour les événements du premier semestre, qui verra l'écosystème régional se rassembler autour de cet enjeu.

Que faire des mots à la mode?

Enfin, interrogés sur les buzzwords qu'ils bannissent en 2025 :

  • Anthonia Ogundele évite autant que possible le jargon tech, préférant un langage simple avec les jeunes.
  • Kathryn Lockhart met au placard les « compétitions de pitch ».
  • Pour Bryan Watson de Cleantech North, si le mot « cleantech » est incontournable, il doit de plus en plus l'expliquer en termes d'efficacité industrielle.

Le dénominateur commun de ces résolutions 2025 ? Un mélange d'ambition, de concentration et de célébration. De quoi aborder cette nouvelle année avec un cap clair et une énergie décuplée pour propulser encore plus haut la tech canadienne sur la scène mondiale. Vivement 2025 !

Partager:

Ajouter Un Commentaire

Chercher

Beauty and lifestyle influencer

Follow my journey on all Social Media channels

Alienum phaedrum torquatos nec eu, vis detraxit periculis ex, nihilmei. Mei an pericula euripidis, hinc partem ei est.
facebook
5M+
Facebook followers
Follow Me
youtube
4.6M+
Youtube Subscribers
Subscribe Me
tiktok
7M+
Tiktok Followers
Follow Me
instagram
3.4M+
Instagram Followers
Follow Me